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-- over my shoulder James Reiss Messages : 19
FC, crédits : cole sprouse (c) StrangeHell; header (c) ethereal
Pseudo, pronom : winterwitch (elle/she)
Pronoms : il, he, him.
Age : (26) déjà, dans le fond des obsidiennes de la mère amourachée de son bambin se superposait le souvenir du disparu, à peine né et déjà insuffisant
Activité : (mécanicien & caissier d’une station service) les rêves étouffés avant même qu'il ne puisse les frôler du bout de ses doigts, le journalisme abandonné au même titre que cette vie qu'il a laissé derrière lui. la plume cassé au même titre que ce coeur pourrissant, raté jusqu'à la moelle.
Statut : ( célibataire ) ce dernier croit plus en la guerre qu’en l’amour, pessimiste mais surtout convaincu qu’il ne peut être aimé
Logement : (rockmouth) dans la petite maison mitoyenne de sa grand mère, en compagnie de son ivrogne de paternel et de sa main trop lourde
Style RP : +/- 800 mots ; seconde ou troisième personne ; fr ; rp le weekend ; présence aléatoire.
Thèmes récurrents : dépression, anxiété sociale, enlèvement, violence physique, tentative de suicide.
-- over my shoulder Sam 23 Avr - 23:48 | |
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| James Reiss
anxious eyes, search in darkness
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trigger warnings abus physique et mental -- dépression -- tentative de suicide (auto-agressivité) -- violence physique et moral -- enlèvement -- addiction (drogue) -- troubles anxieux identité; — ( R E I S S ) la plèbe d’un patronyme qu’il porte avec autant de violence que les stigmates et encre traçant les sillages de ses souffrances contre son épiderme. Reiss, qu’il se répète bien souvent en silence lorsque le reflet détestable de ses yeux le renvoi aux désirs inassouvies d’une mère adulée, détestée, méprisée, incomprise par le crâne d’un adolescent au mal-être grandissant. Reiss, l’ombre de ses deux aînés pourtant disparus qui étouffent ce qu’il est pour mieux l’effacer. Reiss qui, ne vit qu’au titre d’objet à travers lequel mère et père cherchaient à museler leur peine. Reiss l’insuffisant. ( J A M E S ) ce prénom aux consonances aussi douces qu’elles le rattachent, pourtant, violemment aux souvenirs d’enfant que le jeune garçon cherche à étouffer comme on arracherait le fœtus à l’intérieur des entrailles d’une mère qui ne souhaite en rien offrir la vie. James, ce prénom chantant à son oreille et pourtant souvent confondue par celle qui lui a offert la vie avec celui d'un aîné qui n'est qu'une photographie mystérieuse. age, date et lieu de naissance; — ( 31 DECEMBRE, PORTLAND, 26 ANS ) , contre la peau brulante de la mère, le nourrisson s’y lovait avec naïveté et nécessité même d’un criant besoin de protection. Sous l’œil attentif et fugace des soignants, James le bébé douceur, le bébé bonheur, déposé dans son couffin sous le ciel enneigé d’une Portland d’un nouveau départ. Et pourtant déjà, dans le fond des obsidiennes de la mère amourachée de son bambin se superposait le souvenir du disparu, à peine né et déjà insuffisant . Alors James ne fête plus son anniversaire, convaincu de la supercherie de sa naissance. nationalité; — (AMERICAIN) de naissance, bien que l’oeillade du mécanicien se veut critique quant aux dogmes sociaux et historiques recouvrant les horreurs d’un pays qui se veut moralisateur. (BRITANNIQUE) de mère, quelque part dans l’arbre généalogique du jeune homme sommeil des racines dont il a méconnaissance. (ECOSSAIS) de père, un code génétique, une culture inhalé depuis plus des millénaires. situation familiale; — (FANTOMATIQUE) sont les deux aînés qui le précède, ces derniers arrachés à leur mère avant même que James ne soit conçu. Une aînée, subissant l'ambiance mortifère au même titre que lui, mais souvent incomprise, et toujours antagonisé par le benjamin. Une mère, dont l'âme n'est qu'un flottement brumeux et anxiogène, prisonnière de sa culpabilité, de maux qui resteront des plaies ouvertes. Un père ivrogne, souffrant de sa trop grande lucidité et dont la hargne se matérialise trop souvent en poing fracturant la peau du benjamin. Enfin, une grand-mère, touche d'humanité vieillissant et fragilisé par les années. emploi; — ( CAISSIER DANS UNE STATION ESSENCE, MECANICIEN ) James enchaîne les petits jobs précaires, tentant d’oublier ses rêves de journaliste professionnel qu’il aurait lui-même brisé, se contentant de la pérennité de sa propre précarité, arrachant les posters de ses idoles et brûlants les livres des penseurs. James ne veut ni penser, ni rêver, simplement oublier. situation financière; — (PRECAIRE), sans ambition, dénué de toute substance vital, ses rêves d’enfants jetés à la mer, il survit plus qu’il ne vit, et donne une partie de sa maigre paye à sa grand-mère. situation amoureuse et orientation sexuelle; — ( CELIBATAIRE, HETEROSEXUEL ) ce dernier croit plus en la guerre qu’en l’amour, pessimiste mais surtout convaincu qu’il ne peut être aimé, le jeune garçon préfère les nuits solitaires à celles en bonne compagnie, et si parfois ses doigts parcourent les courbes féminines de passages, il ne s’attache pas. comment aimer quand on ne s’aime pas soi-même ? signes distinctifs; — ( QUATRE CICATRICES ) sur ses deux poignets, les stigmates de sa tentative de suicide qu'il cache de deux gros bracelets noires. caractère; — taciturne – solitaire – désintéressé – attentif – à l’écoute – torturé – généreux – sensible – silencieux – observateur – distant – méfiant – brisé – autodestructeur – en retrait – introvertie – intelligent – passionné – doux - anxieux - rigide. livre préféré : Les Misérables - Victor Hugo. film préféré : requiem for a dream - Darren Aronofsky dernière chanson jouée : Jonathan Roy - Keeping Me Alive dernier sms envoyé : à sa grand mère pour lui assurer qu'il va bien. a ignoré l'un des nombreux texto de sa soeur aînée. dernier repas : nouilles au légume, pendant sa pause. personne à contacter en cas d'urgence : sa grand mère paternelle. commande typique au diner du coin : cheeseburger, frittes, coca. contenus de son sac : marlboro 100's, bouquins, carnet de notes, stylos, chargeurs de son téléphone, écouteurs, clefs, porte-feuille, briquet. contenus de sa table de chevet : marlboro 100's, bouquins, carnet de notes, stylos, chargeurs de son téléphone, écouteurs. endroits fréquemment visités : A la fois tout et rien, l'errance en étendard, il connaît les rouages des lois de la rue plus qu'il ne se connait lui-même. Toutefois, il se rêve de paysages enneigés et d'un chalet en suisse. endroit préféré : La mer, paisible, séduisante, enivrante, il pourrait passer des heures prêt d'elle, cette dame dont les vagues sont indomptables, douces, et rigoureuses. quel genre d'ami.e c'est : Le meilleur, sans doute l'oreille attentive que chaque être humain souhaiterait avoir à ses côtés, toutefois rongé par l'idée d'être un poids pour eux, il est construit dans l'ambivalence d'une proximité et d'une distance qu'il entretien inconsciemment. un porte-bonheur : Un stylo plume que sa soeur aîné lui a offert le jour de ses dix ans. un rituel/une tradition : Un café et une cigarette le matin, et quelques lavages de mains pathologiques dès qu'il rentre chez lui, à s'en esquinté la peau. Sigle d'une souffrance, d'une angoisse, qu'il cherche à maîtriser, autant qu'il cherche à s'effacer. un rêve : Se trépaner le crâne dans l’espoir d’être remis à zéro. une peur : Lire le greffon de la déception dans les obsidiennes de sa grand-mère paternelle. un souvenir : La main de son grand-père tendu en sa direction, une nuit d'hivers, les larmes dévalant dans un silence aussi pudique que religieux ses joues creuses et blafarde. Cette image du vieil homme souriant et rabougris s'accompagne toujours d'une pointe de culpabilité, mais aussi de l'étrange sensation, d'être né pour la première fois. endlessness runs in you like leaves on the tree of night( I'M SORRY ) C’est sous une Portland enneigée que le couple froisse le sol blanchâtre, le bambin emmitouflé sous une épaisse couche de vêtement, c’est un ciel grisâtre qui accueille une nouvelle âme au sein des murs d’une maison nouvellement acquise. Des murs pourtant tapissés d’un passé que Eva refuse d’oublier, ses orbes souvent accrochés aux photographies usées par le temps, parfois froissés dans le creux de ses doigts, mais bien souvent humidifié par ses larmes salés. C’est entre ces murs, aussi nouveaux que figés dans le passé que le jeune James sommeil à poing fermé, sous le regard angoissé d’une matriarche incapable de le lâcher, et celui plus désintéressé d’un père sans doute plus lucide qu’il ne le souhaiterait. Comme chaque nuit Eva se glisse dans l’une des trois chambres, celle où la vie sommeille paisiblement, une main moite déposée contre le ventre du nourrisson, à la recherche de la vie, et si la mère de famille peut se vanter d’avoir offert la vie à ce nourrisson en tout point parfait. C’est pourtant d’un autre qu’elle se languie péniblement, soufflant alors pour la première fois à l’oreille du nouveau-né un « bonne nuit Jarod » qui n’aura de cesse de venir se confondre régulièrement avec ce « dors bien James » que l’enfant subira au fil des années. Sous l’œil peiné d’impuissance d’un père qui aura toujours du mal à affronter le regard de son dernier né, sans sentir ses entrailles se retourner de douleur. ( I NEVER MEANT TO HURT YOU ) L’enfant prend doucement conscience de la consistance de cette prison du passé dans lequel Eva se fige, tentant parfois de faire oublier à la mère les plaies d’un passé qui la hantent, la font parfois pleurer dans la nuit sombre qui, ne s’est finalement, jamais terminée pour elle. Le jeune garçon tend ses mains, tente d’essuyer les larmes qui ruissellent, conscient pourtant qu’il ne sera jamais suffisant. Il apprend à connaître ses frères à travers les quelques photographies, à travers les récits qui asphyxient son esprit, à travers les achats pour trois, plutôt que pour un, à travers les chambres que maman décore toujours, et entretien comme si elle cherchait à y insuffler la vie qu’il n’y avait pas. Passif, James observe aussi se père qui évite régulièrement son regard, tourne les talons dès lors que sa femme déborde, ce qui arrive trop régulièrement. Et jusqu’à la salle de classe élémentaire les fantômes s’accrochent à lui, lorsque le nom maudit est souvent énoncé de la bouche de ses camarades, parfois par curiosité, souvent par pitié, mais toujours par cruauté. Reiss le maudit c’est ainsi qu’on affuble le petit garçon qui marche trop souvent tête baissé, traine des pieds, ses épaules larges pour son jeune âge, déjà vouté de honte. James souhaiterait disparaître, être inhalé pour l’éternité, et finalement lorsque ses paires le bousculent, l’humilient, James souhaiterait tout simplement crever. ( I NEVER TRIED TO MAKE YOU CRY ) Quelque part l’acte en lui-même était aussi lâche qu’il ne fut salvateur, prémisse de l’espoir d’en finir une bonne fois pour toute, de s’échapper de cette suffocation imposée par les murs sordides d’une maison d’apparence banale. De ne plus avoir les tympans percés par le prénom d’un fantôme, ni par les sanglots d’une mère esseulée, à la dépression contagieuse, à la cruauté des êtres humains. James a tenté d’effacer sa chair au même titre que son âme, l’espoir illusoire de ne plus suffoquer lui est arraché lorsque ses paupières lourdes et douloureuses se confrontent au plafond de sa chambre d’hospitalisation. Ses membres attachés, ses doigts carbonisés par ceux d’une mère éplorée à son chevet. L’aphone de sa voix comme si souvent prisonnière de sa trachée contractée, c’est d’abord les yeux noirs et colériques, certainement intoxiqués par l’alcool de son père que James évite péniblement. Affligé par les sanglots bruyants de sa mère qui, l’étouffe de ses bras. « Ne fais plus jamais ça Jarod… » Laisse-t-elle échappé à travers ses lèvres rongés par l’anxiété, et c’est tristement, que James se laisse effacer et noyer par le chagrin de sa mère adoré. « je suis désolé… » finit-il par articuler péniblement, ravalant toutes ses larmes pour ne laisser place qu’au vide de sa carcasse condamnée à subir une existence qu’il n’a pourtant jamais désiré. ( I'M SORRY ) La porte claque sur des éclats de voix se mêlant aux suppliques amourachés d’une femme qui n’existe plus depuis des décennies, accrochée aux regrets et condamnée à vivre au milieu de et si qu’elle s’impose et impose aux membres d’une famille qui n’en a jamais été une. Restes s’il te plaît qu’elle hurle à s’en éclater la voix, quand James, le corps anesthésié par les substances observe cette scène d’un ailleurs qu’il a fini par se créer. Sans un regard le père s’efface, laissant le fils porter des plaies qui ne sont pas les siennes, mais qui décime son épiderme depuis le jour maudit de sa naissance, des cicatrices purulentes que l’usage intensif de drogue permet de soigner un temps durant, jusqu’à la prochaine dose, jusqu’à la dose de trop. L’avenir n’est qu’un abysse qu’il observe du coin de l’œil, terminant lui aussi par quitter les murs suffoquant d’une prison du passé qu’il n’a jamais choisi. Laissant derrière lui, une mère qu’il décide de museler dans une boite enterrée, l’errance a au moins l’honneur d’occulter ses démons, et c’est auprès des déchets d’une société qui les malmène que James trouve sa place. De dose en dose, de cartons en cartons, de ruelles en ruelles. Jusqu’à ce que le vieil arbre paternel ne vienne lui tendre la main, ses prunelles désolées l’implorant de ne plus jamais recommencer, les murs blancs des centres de désintoxication en guise de nouvelle prison. James se sent aimé par ce grand-père paternel aux sourires doux et bienveillants, à travers les remontrances d’une grand-mère qui n’oublie jamais son véritable prénom. Chaque rechute est une pierre que le petit fils ajoute sur des épaules déjà éreintés de ses grands-parents, finissant par tuer à la tâche le plus âgé. Et tandis que le ciel pleurait le vieil homme à la bonté qui n’était plus à prouver, le patriarche titubant toise sa progéniture en ce jour de deuil, laissant ses phalanges alcoolisé s’échouer contre la joue de ce dernier, ses orbes noires le toisant avec répugnance. « Tu n’aurais pas dû naître. » que siffle le père entre ses dents, et le jeune homme le sait, au plus profond de ses tripes, cela a toujours été écrit. Il n’aurait jamais dû naître, et si ses aînés n’étaient pas disparus, il n’aurait jamais vu le jour, alors il accepte les remontrances, les mains trop lourdes et alcoolisés, se nourrissant parfois de quelques rayons lumineux que lui insuffle la vieille femme pour qui, James reste en vie. prénom/pseudo, pronoms; — winterwitch. age, pays; — 91's, île de france. avis sur le forum, remarques; — l'Oregon aura eu raison de moi comment avez-vous trouvé le forum ?; — trois petites witch déjà présentes. une anecdote étrange/irréelle/surnaturelle à partager ?; — trop en réalité. avatar — cole sprouse crédits; — ethereal.
Dernière édition par James Reiss le Dim 24 Avr - 18:25, édité 7 fois |
| | | | Aspen Jones Messages : 82
FC, crédits : sweeney ☾ bambi eyes (avatar) // foolish blondie (gif) // pinterest (sign) // sleeping at last (quote)
Pseudo, pronom : foolish blondie ; she/her
Pronoms : she/her
Age : (twenty -eight) the golden age. et les années qui sur les épaules s'accumulent
Activité : (real estate agent) l'agence de l'enfance rachetée, higareda qui innonde dc
Statut : (in a relationship) le myocarde affolé par l'interdit depuis trop d'années, c'est les faux semblants qu'elle alimente pour cacher la vérité pourtant limpide
Logement : (albion heigths) petite maison, avec un grand jardin
Style RP : +/- 500 mots ; seconde ou troisième personne ; fr (dialogue en anglais possibles) ; rp le week end
Thèmes récurrents : car accident ; death ; blood ; infertility ; anxiety ; loss ; fear of abandonment ; cheating
Re: -- over my shoulder Sam 23 Avr - 23:50 | |
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| | | | James Reiss Messages : 19
FC, crédits : cole sprouse (c) StrangeHell; header (c) ethereal
Pseudo, pronom : winterwitch (elle/she)
Pronoms : il, he, him.
Age : (26) déjà, dans le fond des obsidiennes de la mère amourachée de son bambin se superposait le souvenir du disparu, à peine né et déjà insuffisant
Activité : (mécanicien & caissier d’une station service) les rêves étouffés avant même qu'il ne puisse les frôler du bout de ses doigts, le journalisme abandonné au même titre que cette vie qu'il a laissé derrière lui. la plume cassé au même titre que ce coeur pourrissant, raté jusqu'à la moelle.
Statut : ( célibataire ) ce dernier croit plus en la guerre qu’en l’amour, pessimiste mais surtout convaincu qu’il ne peut être aimé
Logement : (rockmouth) dans la petite maison mitoyenne de sa grand mère, en compagnie de son ivrogne de paternel et de sa main trop lourde
Style RP : +/- 800 mots ; seconde ou troisième personne ; fr ; rp le weekend ; présence aléatoire.
Thèmes récurrents : dépression, anxiété sociale, enlèvement, violence physique, tentative de suicide.
Re: -- over my shoulder Sam 23 Avr - 23:51 | |
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| | | | Avery Hartford Messages : 417
FC, crédits : Alicia Vikander, by ellaenys (ava) & mars (code signa)
Pseudo, pronom : Bliss, elle/she
Pronoms : elle/she
Age : 34 ans (23 Juillet 1988)
Activité : nouvelle propriétaire de la clinique vétérinaire.
Statut : éternelle célibataire, le coeur pris, platonique. besoin d'expirer.
Logement : petite maison en bois à dovecote hill que tu loues pour le moment. un crédit à la fois.
Style RP : longueur aléatoire, selon partenaire. deuxième personne priorisée, possible première.
Thèmes récurrents : stress post traumatique : noyade - souffrance animale : vétérinaire - consommation d'alcool et de tabac fréquente - évocation d'abandon -
Re: -- over my shoulder Sam 23 Avr - 23:53 | |
| Bienvenue Excellent choix de FC |
| | | | James Reiss Messages : 19
FC, crédits : cole sprouse (c) StrangeHell; header (c) ethereal
Pseudo, pronom : winterwitch (elle/she)
Pronoms : il, he, him.
Age : (26) déjà, dans le fond des obsidiennes de la mère amourachée de son bambin se superposait le souvenir du disparu, à peine né et déjà insuffisant
Activité : (mécanicien & caissier d’une station service) les rêves étouffés avant même qu'il ne puisse les frôler du bout de ses doigts, le journalisme abandonné au même titre que cette vie qu'il a laissé derrière lui. la plume cassé au même titre que ce coeur pourrissant, raté jusqu'à la moelle.
Statut : ( célibataire ) ce dernier croit plus en la guerre qu’en l’amour, pessimiste mais surtout convaincu qu’il ne peut être aimé
Logement : (rockmouth) dans la petite maison mitoyenne de sa grand mère, en compagnie de son ivrogne de paternel et de sa main trop lourde
Style RP : +/- 800 mots ; seconde ou troisième personne ; fr ; rp le weekend ; présence aléatoire.
Thèmes récurrents : dépression, anxiété sociale, enlèvement, violence physique, tentative de suicide.
Re: -- over my shoulder Dim 24 Avr - 0:05 | |
| merci beaucoup |
| | | | Kaleb Salinger Messages : 68
FC, crédits : rudy pankow , alieneen
Pseudo, pronom : dreamkeeper, elle/she/her
Pronoms : il/he/him
Age : vingt-six ans,
Activité : accro à la mécanique, garagiste passionné par les rénovations de véhicule; créateur d'un podcast sur l'étrange qui risque de faire du remue-ménage
Statut : fraîchement célibataire, le coeur secoué après trois ans d'une idylle compliquée
Style RP : entre 400 & 800 mots en moyenne voir +, fr/eng. rp à la 3ème pers.
Re: -- over my shoulder Dim 24 Avr - 0:29 | |
| wow... je suis soufflée par la plume, par les émotions qui s'en dégagent j'ai pas les mots il me fait de la peine, James, j'espère qu'il finira par s'aimer je suis sûre qu'il aurait moyen de devenir un super journaliste à DC, c'est pas les histoires qui manquent dans le coin en tout cas, hâte de lire la suite |
| | | | Alfie Jones Messages : 5
FC, crédits : tom hardy (chounette + LIZ )
Pseudo, pronom : chromatics
Pronoms : il/lui
Age : quarante six années s’écoulant, de ce qui parait plus parfois moins à d’autre, de ces années dorées qui se sont étiolées sous le poids de responsabilités qu’il aurait pas dû porter
Activité : dirigeant de l’usine de pêches Jones, de cet héritage familial venant se poser sur ses épaules .
Statut : célibataire, le bateau échoué de ces amours délaissés face aux besoins nécessités
Style RP : min +/- 500 mots, fr, tu/il, variable selon les disponibilités
Thèmes récurrents : deuil
Re: -- over my shoulder Dim 24 Avr - 8:54 | |
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| | | | Elisa Miles Messages : 30
FC, crédits : vika bronova, hoodwick
Pseudo, pronom : chewbi, elle
Pronoms : elle/she
Age : vingt-sept ans qu'elle foule les alentours de ces environs.
Activité : barista dans le petit café du coin, elle n'a jamais rêvé de grands voyages et n'a jamais eu de grands rêves.
Statut : elle a appris très jeune à développer son indépendance, célibataire, elle n'envisage pas être prise dans le piège.
Logement : cette maison familiale qu'elle a aimé, qu'elle a haït, qu'elle a finalement gardé dans son coeur et à laquelle elle est liée pour toujours.
Style RP : 3/3 rps libres - réponses toutes les 2 semaines environ.
Thèmes récurrents : poids des responsabilités, maison de retraite., abandon
Re: -- over my shoulder Dim 24 Avr - 9:00 | |
| ce qu'il est touchant, tellement attendrissant. je te réserve une place dans mes liens, c'est obligé. il a tout ce qu'il fait qu'elle voudra l'aider et être présente pour lui . bienvenue ici et hâte de lire la suite de cette merveille . |
| | | | James Reiss Messages : 19
FC, crédits : cole sprouse (c) StrangeHell; header (c) ethereal
Pseudo, pronom : winterwitch (elle/she)
Pronoms : il, he, him.
Age : (26) déjà, dans le fond des obsidiennes de la mère amourachée de son bambin se superposait le souvenir du disparu, à peine né et déjà insuffisant
Activité : (mécanicien & caissier d’une station service) les rêves étouffés avant même qu'il ne puisse les frôler du bout de ses doigts, le journalisme abandonné au même titre que cette vie qu'il a laissé derrière lui. la plume cassé au même titre que ce coeur pourrissant, raté jusqu'à la moelle.
Statut : ( célibataire ) ce dernier croit plus en la guerre qu’en l’amour, pessimiste mais surtout convaincu qu’il ne peut être aimé
Logement : (rockmouth) dans la petite maison mitoyenne de sa grand mère, en compagnie de son ivrogne de paternel et de sa main trop lourde
Style RP : +/- 800 mots ; seconde ou troisième personne ; fr ; rp le weekend ; présence aléatoire.
Thèmes récurrents : dépression, anxiété sociale, enlèvement, violence physique, tentative de suicide.
Re: -- over my shoulder Dim 24 Avr - 11:43 | |
| merci à vous pour cet accueil @Kaleb Salinger tes mots me vont droit au coeur, vraiment, merci mille fois @Alfie Jones jotem, tout simplement voilà @Elisa Miles merci mille fois pour ces jolis mots, ma boite mp est toute ouverte pour parler lien, surtout n'hésites pas |
| | | | Misty Smith Messages : 209
FC, crédits : emily alyn lind (av: esmerald, ban: alcara)
Pseudo, pronom : am, elle.
Pronoms : elle.
Age : vingt-deux ans (libra babe).
Activité : employée au 7-eleven.
Statut : fatalement seule.
Logement : un mobil home délabré du trailer park depuis toujours.
Style RP : deuxième personne du singulier ; fréquence irrégulière ; entre 300 et 600 mots mais préférence pour les réponses courtes (fr only sorry)
Thèmes récurrents : alcoolisme, prostitution, pauvreté, maladie et mort d'un parent, sentiment d'abandon, mauvaise estime de soi, tca léger, vocabulaire familier voire vulgaire.
Re: -- over my shoulder Dim 24 Avr - 14:51 | |
| son histoire est tellement triste j'ai envie de lui faire un câlin omg et puis heaton ? je l'aime d'amour bienvenue ici |
| | | | James Reiss Messages : 19
FC, crédits : cole sprouse (c) StrangeHell; header (c) ethereal
Pseudo, pronom : winterwitch (elle/she)
Pronoms : il, he, him.
Age : (26) déjà, dans le fond des obsidiennes de la mère amourachée de son bambin se superposait le souvenir du disparu, à peine né et déjà insuffisant
Activité : (mécanicien & caissier d’une station service) les rêves étouffés avant même qu'il ne puisse les frôler du bout de ses doigts, le journalisme abandonné au même titre que cette vie qu'il a laissé derrière lui. la plume cassé au même titre que ce coeur pourrissant, raté jusqu'à la moelle.
Statut : ( célibataire ) ce dernier croit plus en la guerre qu’en l’amour, pessimiste mais surtout convaincu qu’il ne peut être aimé
Logement : (rockmouth) dans la petite maison mitoyenne de sa grand mère, en compagnie de son ivrogne de paternel et de sa main trop lourde
Style RP : +/- 800 mots ; seconde ou troisième personne ; fr ; rp le weekend ; présence aléatoire.
Thèmes récurrents : dépression, anxiété sociale, enlèvement, violence physique, tentative de suicide.
Re: -- over my shoulder Dim 24 Avr - 18:23 | |
| merci beaucoup |
| | | | Ryle Day Messages : 15
FC, crédits : deidrick -- ©️chounette (avatar), alcara (sign/bann), foolish blondie (crackship).
Pseudo, pronom : océane -- elle/she.
Pronoms : il/he.
Age : les trente quatre années au creux d'une paume stigmatisée à bien des reprises, prêtes à lui échapper comme les restes de cette autre vie goûtée de son gré et recrachée de force.
Activité : ancien boxeur professionnel dont les séquelles physiques se veulent menottes aux poignets.
Statut : veuf dont la culpabilité écrase le bon comme le mauvais.
Style RP : généralement +1000 mots. il/tu. dialogues en/fr.
Thèmes récurrents : deuil, trauma, négligence parentale, abus d'alcool, adultère, peine de mort.
Re: -- over my shoulder Dim 24 Avr - 18:55 | |
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| | | | James Reiss Messages : 19
FC, crédits : cole sprouse (c) StrangeHell; header (c) ethereal
Pseudo, pronom : winterwitch (elle/she)
Pronoms : il, he, him.
Age : (26) déjà, dans le fond des obsidiennes de la mère amourachée de son bambin se superposait le souvenir du disparu, à peine né et déjà insuffisant
Activité : (mécanicien & caissier d’une station service) les rêves étouffés avant même qu'il ne puisse les frôler du bout de ses doigts, le journalisme abandonné au même titre que cette vie qu'il a laissé derrière lui. la plume cassé au même titre que ce coeur pourrissant, raté jusqu'à la moelle.
Statut : ( célibataire ) ce dernier croit plus en la guerre qu’en l’amour, pessimiste mais surtout convaincu qu’il ne peut être aimé
Logement : (rockmouth) dans la petite maison mitoyenne de sa grand mère, en compagnie de son ivrogne de paternel et de sa main trop lourde
Style RP : +/- 800 mots ; seconde ou troisième personne ; fr ; rp le weekend ; présence aléatoire.
Thèmes récurrents : dépression, anxiété sociale, enlèvement, violence physique, tentative de suicide.
Re: -- over my shoulder Dim 24 Avr - 19:13 | |
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| | | | Quincy Hartford Messages : 67
FC, crédits : kian lawley, lumossolemstuff + elsie best roomie.
Pseudo, pronom : s[i]lver.queen, patty.
Pronoms : il/him.
Age : vingt-cinq ans.
Activité : réceptionniste bavard du motel, tu proposes tes services de guide au black.
Statut : célibataire, tu brûles trop vite et consumes tout.
Logement : colocation, rockmouth.
Style RP : deuxième personne, entre 500 et 1500 mots, open.
Thèmes récurrents : beuh, vulgarité, évocation de suicide, abandon.
Re: -- over my shoulder Dim 24 Avr - 19:25 | |
| oook. alors déjà, depuis quand cole ressemble à ça ? anyway, très bon choix. mais l'histoire pardon, j'suis en pls. c'est vmt pas cool. je brrr, j'ai adoré. bienvenue |
| | | | Judd Saint Messages : 275
FC, crédits : nathan niehaus, © stratosphere serenade, tony kushner.
Pseudo, pronom : anaïs, elle (she/her)
Pronoms : il (he/him).
Age : it's a cold and it's a broken twenty-three.
Activité : flipping burgers at the diner.
Statut : landscape with several small fires.
Logement : off the grid, a cabin in the woods with his father.
Style RP : rythme lent, réponses longues-ish (~1000 mots), fr/eng.
Thèmes récurrents : imagerie religieuse (christianisme), survivalisme (préparation à la fin des temps), théories du complot, parent abusif, violence, possibles mentions de chasse et armes à feu.
Re: -- over my shoulder Dim 24 Avr - 21:31 | |
| oh ça m'a brisé le coeur bienvenue et du coup bon jeu aussi, je valide !!!! |
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