|
(1m) the war criminal rises and speaks,Aron De Saegher Messages : 259
FC, crédits : m. huisman — fc, eihwaz ; sign, alcara.
Pseudo, pronom : les draps bleus — they/them, il/iel.
Pronoms : il/lui.
Age : quarante-et-un ans.
Activité : entre les aides d'état et une maigre paie — docker en dillettante, le dos plié par des caisses pour oublier une carrière d'u.s. marine enterrée depuis longtemps.
Statut : en solitaire, ceux qui ne sont pas vraiment veufs — ça fait dix ans, et il a abandonné la bataille ; il lui ne reste même plus la compagnie d'un vieux frère, trop aveugle pour crier à temps.
Style RP : rythme erratique, env. 500-750 mots par réponse — en français et en anglais.
Thèmes récurrents : alcohol/drugs (addiction à la codéine) — death or dying (accident de la route, mort d'un.e proche) — depiction of war trauma (engagement dans l'armée américaine, déploiement en irak, SPT) — abuse/child abuse (trauma générationnel, absentéisme) — ableism/ableist language (symptômes d'encéphalopathie traumatique chronique) — internalized homophobia (refus d'évoquer son attirance).
(1m) the war criminal rises and speaks, Mar 5 Avr - 9:37 | |
|
| simon de saegher, les vagues de l'âme
i carry band-aids on me now for when your soft hands hit the jagged ground. — training wheels, melanie martinez. |
20/21 ans ― en galère ― statut au choix
finn wolfhard, au choix j'aimerais savoir te dire,
toutes les choses qui ont manquées toutes ces années.
pardonne-moi, mon fils; ma tête est lourde et embrumée.
j'ai hérité de mon père la malédiction des hommes de notre famille.
et il est trop tard maintenant, trop tard pour rattraper le temps
le temps perdu le temps volé le temps des cerises et de nos étés.
j'ai échoué. pardonne-moi, mon fils.
ton père a la tête à l'envers.simon est né en oregon en 2001, de parents ayant à peine la vingtaine ; élevé surtout par sa mère julie, son oncle garrett et ses grands-parents — aron était à l'époque dans le corps des marines, jusqu'en 2009, un père quasi-inconnu pour un enfant qui a vu revenir un fantôme — en 2011, un accident de voiture tue sa mère et met des plaques de titane dans le crâne de son père — semi-orphelin, enfant débrouillard, il a dû grandir trop vite — l'impression parfois d'avoir dû être le parent des deux — aron est tombé dans la codéine — mais il s'est toujours battu pour garder la maison à flots — peu de revenus, entre la pension militaire et les petits boulots de son père — pourtant aron était foncièrement bon, à l'emmener au diner tous les dimanches soirs — simon tient peut-être trop de lui, et c'est pour ça qu'à l'aube de ses vingt-et-un ans, il fuit — envie de prendre son indépendance, même si sa chambre dort toujours dans la maison qui s'abîme — aron est aujourd'hui à bientôt deux ans de sobriété vis-à-vis de la codéine, mais c'est trop tard pour simon — il a regardé son père lutter contre lui-même en silence, et contre cette encéphalopathie traumatique chronique dont il ne veut pas connaître le nom. la nuit est longue, et en son sein dorment des monstres. bientôt, il fera jour. il n'y croit pas. bientôt, il fera jour. peut-être que c'est faux. peut-être qu'on a menti, qu'un jour le soleil ne se lèvera pas. peut-être que bientôt, il ne fera pas jour, il fera simplement toujours nuit, nuit, nuit, nuit jusqu'à la fin des temps. et les yeux de la bête le regardent toujours, sans qu'il ne puisse les décrire. et le souffle est toujours le même, et les sutures de son crâne le grattent à nouveau pour la première fois depuis des années. bientôt, il fera jour. alors pour cuisiner des gaufres, il faut peu de choses : de la farine, du sucre, du beurre, du lait, des oeufs. ne pas oublier la pincée de sel. il oublie la pincée de sel, depuis quelques années. il ne faut pas verser le contenu du tube orange qui dort dans le troisième tiroir en partant de la droite, dans la cuisine. il faut y mettre de l'amour, en revanche. et ne pas oublier d'acheter du sirop d'érable. mais pas n'importe lequel, par pitié. ça pourrait tout ruiner. pour cuisiner des gaufres, il faut connaître son propre nom, et avoir les pupilles qui répondent correctement quand on passe une lumière vive devant. ne pas avoir le crâne qui saigne. ça ne se voit pas sur les images revenues du service de radiologie, mais ça se voit dans le fond du regard. ça se voit quand on essaie de parler et que tous les mots s'amassent en une boule informe au bord des lèvres. il faut alors se taire, et se concentrer sur chaque syllabe. personne ne doit savoir. la mutuelle coûte trop cher. il faut aussi avoir une relation saine à ses enfants. pour avoir des gens avec qui manger les gaufres. sinon, il y en a trop et elles restent tristes sur le bord de la table du diner local, avec la buée sur les baies vitrées. informations supplémentairesbien le bonjour à toi comme tu le vois si tu as lu jusque là, le personnage de simon est un pré-lien relativement libre et ouvert à l'interprétation pour qui voudra le tenter. l'important, c'est de se l'approprier, mais voici quelques petits points de précision à son sujet : le prénom simon est négociable, mais c'est ainsi que je l'ai nommé au travers de ma fiche — l'avatar l'est tout autant, même si j'aime beaucoup la petite gueule de finn ; en tout cas, pour respecter le fait que le personnage est issu, au moins du côté d'aron (joué avec m. huisman, ndlr), d'une famille juive ashkénaze, il faut respecter ces origines au moins partielles — simon a été quasi plus élevé par son oncle @garrett de saegher que son père qui était par monts et par vaux, mais ça promet de supers liens en plus — simon a perdu sa mère en 2011, d'un accident en réalité causé par aron — des rumeurs courent d'ailleurs sur son père, et il a dû certainement en subir ou en démentir, à voir — de nos jours, aron aimerait recoller les morceaux, mais cela semble compliqué, maintenant que simon est bientôt un adulte — pour en savoir plus, lien vers ma fiche.il y a donc plein de choses à construire ensemble, et du chaos familial avec des miettes d'amour trop cool au milieu à écrire aron a la tête cassée, littéralement et figurativement, mais c'est pas quelque chose qu'on peut si facilement accepter et pardonner, à l'âge de simon. pour ce qui est de l'activité, je me remets ici au RP alors c'est chill en vrai en moyenne 500 mots par réponse, mais mon rythme peut être bordélique, très rapide ou très lent, en fonction des emplois du temps ; quand je pars en tournage deux semaines, je deviens un fantôme, r.i.p. mais l'important c'est de communiquer là-dessus, et j'ai trop envie qu'on discute et qu'on construise des choses ensemble, mais aussi avec le reste de la famille de saegher ou même toute la vieille bande de potes qui gravite autour d'eux en tout cas, si le pl t'intéresse, n'hésite pas à me poker ici ou sur le discord du forum
|
| | | | Earl De Saegher Messages : 4
FC, crédits : Thomas McDonell, @hell0.friend.dat
Pseudo, pronom : Plume, she/her.
Pronoms : he/him.
Age : 21 ans.
Activité : étudiant : adolescent perdu serait plus exact.
Statut : célibataire et libre comme l'air.
Logement : toujours chez papa, à Deer Creek.
Style RP : FR/ENG | au moins 1 rp par semaine ! Longueurs au choix <3
Re: (1m) the war criminal rises and speaks, Ven 6 Mai - 18:28 | |
| and, I, son of Aron, have arrived. |
| | | | Aron De Saegher Messages : 259
FC, crédits : m. huisman — fc, eihwaz ; sign, alcara.
Pseudo, pronom : les draps bleus — they/them, il/iel.
Pronoms : il/lui.
Age : quarante-et-un ans.
Activité : entre les aides d'état et une maigre paie — docker en dillettante, le dos plié par des caisses pour oublier une carrière d'u.s. marine enterrée depuis longtemps.
Statut : en solitaire, ceux qui ne sont pas vraiment veufs — ça fait dix ans, et il a abandonné la bataille ; il lui ne reste même plus la compagnie d'un vieux frère, trop aveugle pour crier à temps.
Style RP : rythme erratique, env. 500-750 mots par réponse — en français et en anglais.
Thèmes récurrents : alcohol/drugs (addiction à la codéine) — death or dying (accident de la route, mort d'un.e proche) — depiction of war trauma (engagement dans l'armée américaine, déploiement en irak, SPT) — abuse/child abuse (trauma générationnel, absentéisme) — ableism/ableist language (symptômes d'encéphalopathie traumatique chronique) — internalized homophobia (refus d'évoquer son attirance).
Re: (1m) the war criminal rises and speaks, Ven 6 Mai - 18:28 | |
| |
| | | | Invité Invité Re: (1m) the war criminal rises and speaks, Ven 6 Mai - 18:43 | |
| |
| | | | Contenu sponsorisé Re: (1m) the war criminal rises and speaks, | |
| |
| | | |
(1m) the war criminal rises and speaks,
| |